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À RETENIR

* S’inscrire dans une dynamique positive.
* Sécuriser le processus et ne pas mettre en danger le bénéficiaire de l’appui.
* Ne pas trop en faire ou faire à la place du bénéficiaire afin d’aller plus vite : il est
important que ce dernier soit moteur.
* Laisser le bénéficiaire libre arbitre des moyens d’action et des choix réalisés.
* Respecter la confidentialité concernant les blocages liés aux savoir-faire et com-
pétences du bénéficiaire de l’appui.

4 CLORE UN TEMPS DE TRAVAIL

Faire le bilan du temps de travail

REPRENDRE LES ATTENTES EXPRIMÉES au début de la séance de travail, s’assurer de
l’adéquation des éléments apportés et inviter à faire part des questions et des besoins
afin d’évaluer l'intérêt de poursuivre ou pas l’appui.

Faire le point sur le besoin d’appui à venir et planifier la suite de l’appui

AMENER À ANTICIPER LES PROCHAINES ACTIONS À METTRE EN PLACE en demandant
au bénéficiaire de l’appui d’exprimer lui-même :
• la prochaine étape du projet de coopération à travailler après celle abordée lors de
l’appui ;
• les tâches à mettre en œuvre ;
• les moyens et ressources nécessaires.

Cela permet de vérifier la bonne compréhension de la démarche de coopération et de
voir s’il est nécessaire de proposer une poursuite d’appui.

DEMANDER AU BÉNÉFICIAIRE LES BESOINS FUTURS QU'IL PERÇOIT DÉJÀ.

RAPPELER CE SUR QUOI LE CHARGÉ DE MISSION D’APPUI À LA COOPÉRATION PEUT
ÊTRE MOBILISÉ.

PROPOSER DE RELAYER LES INFORMATIONS sur le(s) projet(s) au sein des réseaux du
chargé de mission d’appui.

FIXER ENSEMBLE LES MODALITÉS DES PROCHAINS ÉCHANGES : fréquence, dates,
moyens (courriel, téléphone, en vis-à-vis, documents partagés).

REPRÉCISER LES ENGAGEMENTS DE CHACUN.

Repérer les éventuelles incompréhensions et les difficultés

SI BESOIN, INVITER LE BÉNÉFICIAIRE DE L’APPUI À FAIRE UNE SYNTHÈSE SUR LE
CONTENU DES POINTS DE MÉTHODE afin de s'assurer de la bonne compréhension des
échanges.

A
ORGANISER UNE MISSION D’APPUI À LA COOPÉRATION 33