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• la demande de subvention complète (informations sur le porteur de projet, devis,
coûts d'interprétariat et de traduction/transport/hébergement, accord de coopération
signé, etc.).

AIDER, SI BESOIN, À ORGANISER UNE RENCONTRE AVEC LES FINANCEURS pour
présenter le projet et demander des financements.

3 VEILLER À L’ANTICIPATION DE LA MISE EN ŒUVRE DU PROJET

En fonction de la nature du projet, l’appui à la coopération peut ne pas être nécessaire
durant sa phase de réalisation. En effet, l’appui a lieu sur la dynamique de coopération,
non pas sur le projet en lui-même.

REPRENDRE AVEC LE BÉNÉFICIAIRE DE L’APPUI LE PROJET ÉTAPE PAR ÉTAPE,
CONSEILLER SUR LES POINTS CLÉS ET ALERTER SUR LES ÉVENTUELS ÉCUEILS.
Alerter en particulier sur les points de vigilance liés à la pluralité de partenaires de culture
potentiellement différente. Une réflexion partenariale approfondie doit être menée : qu’y
a-t-il à faire ? Qui fait quoi ? Avec quels outils ou selon quelles modalités co-construites
et partagées ? Avec quel pilotage ? Quel suivi ? Quels principes de prises de décision, par
quelles instances ? Etc.

M

LES OUTILS COLLABORATIFS

• Afin de bien collaborer, il est nécessaire pour les parties prenantes du projet de coo-
pération d’échanger tout au long de la réalisation de ce dernier. Différents outils
collaboratifs peuvent permettre de faciliter voire d’amplifier ces échanges, notam-
ment lorsque les partenaires du projet ne sont pas proches géographiquement.
• Avant de choisir des outils, il est nécessaire de clarifier ce qu’il y a à faire, qui
va intervenir et sur quoi, comment on va s’y prendre et quels sont les besoins de
collaboration.
• Les outils existants sont très nombreux, il est possible d’aller les découvrir notam-
ment en naviguant sur Internet. Le choix sera fonction des besoins exprimés.
• Il est nécessaire de s'assurer de l'appropriation de ces outils par l'ensemble des
acteurs du projet.

B
LES ÉTAPES CLÉS DE L’APPUI À LA COOPÉRATION 63